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Gestion : Optimiser les services et les moyens des villes moyennes - Tome 2

La raréfaction des ressources des villes moyennes et la recherche d’adéquation des moyens aux politiques locales ont conduit la FMVM à lancer une étude comparative, en plusieurs volets, sur le dimensionnement des services dans les villes moyennes.
Après un premier volet dédié à l’éducation, aux équipements de lecture publique, et au parc automobile, la FMVM vient de publier un second document de synthèse portant sur trois nouveaux secteurs :
-       les écoles de musique, de dance et d'art dramatique,
-       les espaces verts,
-       les équipements nautiques

 

Pour chaque secteur étudié, sont proposés une analyse du contexte et des enjeuxposés aux collectivités, un état des lieux des villes moyennes, et une série de préconisationspour les élus et services techniques des villes moyennes.

L’objectif de cette évaluation est, non seulement d’apporter aux exécutifs locaux des éléments d’aide à la décision sur les moyens en personnel des services, mais aussi de mettre en exergue les leviers à disposition des élus pour influer sur le niveau des services.

Plusieurs facteurs influent en effet sur le dimensionnement des effectifs d’un service, dont certains relèvent de la responsabilité première des élus locaux :

-       le choix du niveau de prestation (l’étendue des services que les élus souhaitent mettre en place sur leur territoire),

-       l’adaptation des compétences des agents (l’insuffisante adaptation étant une source de sureffectif, d’où la nécessité de rechercher davantage l’adéquation postes/compétences, voire d’externaliser dans certains cas).

D’autres facteurs, plutôt liés à des choix d’organisation des services, relèvent directement de la responsabilité des cadres territoriaux et de leur hiérarchie :

-       le modèle organisationnel mis en œuvre (certains types d’organisation sont plus consommateurs de moyens en personnel que d’autres),

-       le niveau d’automatisation et d’équipement matériel (qui permet de réduire les coûts en charges de personnel),

-       ou encore le nombre de sites où sont répartis les services de la collectivité (la multiplicité des sites limitant la mutualisation éventuelle de certains métiers).

Enfin, certains facteurs - plus difficiles à maîtriser - concernent les bénéficiaires directs des services publics locaux : le niveau d’activité et de fréquentation des services entraine des effets de seuil. La question de la juste adéquation entre, par exemple, les horaires d’ouverture d’un équipement et les besoins et habitudes de fréquentation du public est donc centrale.

Pour en savoir plus et commander cette étude  auprès de la FMVM : [email protected]

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